L'association s'active toujours plus...
Bonsoir les colibris,
Chez les Suspendus ça s’active toujours plus!
Les projets se multiplient et entraînent les bénévoles dans un tourbillon digne d’une machine à laver à 3000 tours minute!
Mais on apprécie tellement ce bel élan de solidarité. De formidables personnes nous contactent pour nous aider à faire de cette fin d’année un moment chaleureux pour les personnes les plus démunies.
Nous vous reparlerons bien évidemment de tous ces colibris dans nos prochaines publis.
Mais en attendant on va commencer par remercier les premiers sur la liste:
Asso Vamos Vadiar Annecy pour cette 3ème année de partenariat solidaire à travers lequel tous ses élèves, capoeiristes et percussionnistes, ont offert des sacs de Noël pour les sans abris. Sacs/cadeaux qui seront distribués le matin du 25 décembre autour d’un beau brunch.
Merci à tous les élèves pour leur confiance et leur enthousiasme.
Les bénévoles doivent aussi rester sur le terrain en maraude. Etre présents pour les préparatifs. Alors merci à Marie, Jessica, Sophie, Nicolas, Stéphanie, Valérie, Marc, Sylvie et Tatie.
Et un énormeee merci à Clément et Joséphine qui se sont mis aux fourneaux et ont cuisiné des pâtes à la carbonara pour la cinquantaine de bénéficiaires rencontrée en maraude. C’était aussi une première pour eux et ils ont vraiment assuré.
Dernier merci à Val sur qui nous pouvons toujours compter pour faire le compte rendu de maraude:
« Steph et Nico (Alias Mr et Mme Sourire 
) sont passés à la boulangerie avant de venir en maraude. Je suis contente de les retrouver, le sourire aux lèvres comme à leur habitude.
) sont passés à la boulangerie avant de venir en maraude. Je suis contente de les retrouver, le sourire aux lèvres comme à leur habitude.Tatie a bien avancé et Marie est déjà en train de charger les sacs qu’elle va distribuer aux familles.
Sophie apporte les œufs qui viennent compléter le repas comme toutes les semaines, et elle ira aussi jusqu’à Rumilly pour apporter un sac alimentaire à un de nos bénéficiaires. Sylvie nous rejoint pleine d’énergie et souriante comme toujours.
L’ambiance est détendue et pleine de bonne humeur pour affronter la « fraîcheur de la
saison ». Les blagues fusent mais l’humour est trop potache pour vous en faire profiter ! 
Clément et son amie viennent nous livrer le repas bien chaud et nous sommes au top
Clément et son amie viennent nous livrer le repas bien chaud et nous sommes au toppour partir en maraude.
Aurélie fait un dernier point avec nous : infos à passer, organisation…
Poussin, Tatie, Sylvie, Nico, Stéph et moi nous répartissons les tâches et les maraudeurs, et nous commençons à descendre vers la ville.
On sent bien le froid et l’humidité 
A Loverchy, nous retrouvons 3 personnes qui sont contentes de trouver un plat chaud, une
soupe, un café, des vêtements secs.
Il n’y aura pas de distribution à la Croix Rouge afin d’assurer une ambiance plus sereine pour tous. Les copains savent où nous trouver.
Nous nous dirigeons donc vers l’Évêché, avec notre halte habituelle chez Franz. Il a fait deux supers gâteaux au chocolat très appréciés par les copains. Les pâtes carbonara de Clément et son amie ont rencontré un succulent succès, et cerise sur le gâteau, ils avaient même pensé au fromage râpé. Des petites attentions qui ne laissent pas indifférents les copains.
Aujourd’hui ça s’attarde plus que d’habitude. Au-delà du froid c’est surtout l’humidité qui est difficile à supporter. Les habitués nous font part de leur difficulté à vivre la promiscuité des foyers, la violence, les vols… Certains préfèrent s’organiser pour rester à l’écart malgré des conditions plus difficiles.
Plusieurs vont partir faire la saison dans des hôtels ou restaurants de stations, et sont contents de trouver un logement pour quelques temps, même si cette perspective les inquiète un peu par rapport au cadre plus rigoureux à tenir.
Sur le chemin du retour Nous rencontrons encore une petite poignée de personnes contentes de trouver encore du plat chaud. Les cuistots ont été généreux sur les quantités ! Nous auront servi à peu près cinquante-cinq repas aujourd’hui. ».
